An archival collection of Liberatore's non-Ranx comics stories. From 1974 to 2016, including unpublished pages, pencil pages and finished pages, hommages/pin-ups, and commentary by the artist.

From the publisher:

From his comic strip production, Liberatore is best known for his cult series, Ranx . Yet, in almost forty years, this virtuoso author has drawn many short stories. Several of these stories had already been gathered in the collection Videos Clips , published by Albin Michel in 1984, of which here is an enriched edition. In addition to the first creations of the author, published in Italy in the late 1970s, alone or alongside his faithful accomplice Tamburini, the reader can discover stories published in L'Echo des Savanes- but never before collected. This collection also contains a totally new story, written by Jean-David Morvan, featuring the world of dating clubs in Japan. But whatever the graphic treatments (black and white or color), the characters, the length of the stories, or the tone, a thread stands out: ultraviolent, hyperrealistic, politically incorrect and intensely erotic, all these stories show a dark universe, disillusioned and absurd..

Une certaine idée de l'apocalypse...

De sa production en bande dessinée, on connaît principalement de Liberatore sa série culte, Ranx. Pourtant, en près de quarante ans de carrière, cet auteur virtuose a dessiné de nombreuses histoires courtes. Plusieurs de ces nouvelles avaient déjà été réunies dans le recueil Vidéos Clips, publié par Albin Michel en 1984, dont voici une édition enrichie. En plus des toutes premières créations de l'auteur, publiées en Italie à la fin des années 1970, seul ou aux côtés de son fidèle complice Tamburini, le lecteur pourra y découvrir des histoires publiées depuis dans L'Écho des Savanes -- mais inédites en album -- et écrites par Alain Chabat, Tonino Benacquista ou encore Georges Wolinski. Ce recueil contient également une histoire totalement inédite, écrite par Jean-David Morvan, mettant en scène l'univers des clubs de rencontre au Japon. Mais quels que soient les traitements graphiques (noir et blanc ou couleurs), les personnages mis en scène, la longueur des histoires et le ton de celles-ci (décalé ou premier degré), un fil conducteur se détache : ultraviolents, hyperréalistes, anti-politiquement corrects et intensément érotiques, tous ces récits montrent un univers sombre, désabusé et absurde au bord de la rupture... Comme un parfum de fin du monde que Liberatore magnifie, d'un trait salvateur et puissamment punk.